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Le premier portfolio de ce cahier #06A présente la série + d’espace de Miguel Aguilar. En agençant des images d’archives, des prises de vue réalisées par ses soins dans des lieux emblématiques de l’histoire de la conquête spatiale, Miguel Aguilar nous fait revivre avec un œil critique et subversif l’une des plus grandes aventures de l’espèce humaine.
Le second portfolio revient sur l’un des évènements éditorial de l’année 2019 : la parution chez B2 éditions du livre Sea of intranquility par Nikola Jankovic & Sarah Vadé. Un livre immense, tant par sa forme que par son son contenu. Nous avons décidé de revenir sur cet ouvrage qui rassemble près de 3000 vues réalisées par les 32 astronautes-photographes des missions Apollo et d’explorer plus largement les rapports que nous entretenons avec notre satellite et l’exploration spatiale dans ses dimensions techniques et mystiques.
Enfin, nous avons choisi de vous présenter le travail de Sandrine Elberg, un ensemble d’images ambivalentes issues de territoires hostiles et improbables liés à notre imaginaire collectif, un travail qui nous invite au voyage au-delà du système solaire, au milieu d’un dédale de météorites, d’étranges galaxies et de planètes inhabitées.
Le cahier B présente une sélection de photographies articulées autour des séries Crystal de Filip De Smet et A focus on the lower half of the painting de Peter Waterschoot, avec une sélection
À partir de ces séries, mais aussi d’images inédites qu’ils ont bien voulu nous confier, le cahier belge nous conduira une fois de plus vers les confins des univers visuels atmosphériques, interlopes et sensitifs qui constituent les caractéristiques d’une photographie nordique en plein renouveau, et dont le second cahier d’Halogénure entend toujours faire ses délices.
Comme chaque troisième cahier d’Halogénure, le 6C sera consacré à des photographes travaillant avec une technique particulière. Nous partirons cette fois-ci dans trois directions différentes, avec trois photographes tournant autour du sténopé, de diverses manières et dans des esthétiques différentes.
Il sera question de lenteur, de temps, du curieux mélange de maîtrise et de lâcher-prise que le sténopé nous impose. Dans la multitude de pratiques artistiques autour de cette technique, nous avons dû nous limiter à trois photographes qui chacun à leur manière en explorent une facette.Le travail soigné et intimiste, vaporeux et graphique de Manon Weiser qui traque le caché, l’imperceptible, le ténu, les sombres recoins de l’homme que l’on aimerait souvent mieux ne pas voir. Jacques Prud’homme, l’une des figures du sténopé dans nos contrées, arpente depuis des années sa ville muni de ses simples canettes de boissons qu’il transforme en caméra. Saint Etienne devient au fil des expositions, parfois multiples, souvent anamorphiques, un paysage urbain qui semble fantasmé, mais dans lequel on lit une partie de l’âme de la ville.Enfin, nous irons à la rencontre de Patrick Caloz. Autour d’un long entretien avec lui, nous naviguerons entre ses projets artistiques purement photographiques et ceux dans lesquels le sténopé devient en plus un phénoménal outil de partage et de communication avec le monde qui l’entoure et ceux qui l’habitent.
Par Jean Fournier
Photographies de Miguel Aguilar
Nikola Jankovic & Sarah Vadé – B2 Éditions
Texte de Manu Jougla
Photographies de Sandrine Elberg
Texte de Fabien Ribery
Photographies de Peter Waterschoot
Texte d’ Annakarin Quinto
Photographies de Filip De Smet
Photographies du Patrick Caloz
Photographies de Manon Weiser
Texte et photographie de Sabrina Biancuzzi
Photographies de Jacques Prud’homme